Incolore et inodore, cette dernière a la particularité d’avoir des propriétés sédatives, anxiolytiques et euphorisantes qui la rendent particulièrement redoutable lorsqu’elle est utilisée par des prédateurs sexuels, lesquels en versent dans le verre de leur proie avant de passer à l’acte.
Désireuses de protéger les femmes et mettre les violeurs hors d’état de nuire, cinq étudiantes nantaises ont mis au point une paille capable de détecter le GHB.
« On devait construire un business plan autour d’une innovation ? Et on s’est dit que commercialiser une paille anti-drogue, ce serait une bonne idée parce qu’on connaît toute, de près ou de loin, quelqu’un qui en a été victime », raconte l’une d’entre elles, interrogée par nos confrères de BFM TV.
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